Web 2.0 et les arts de la scène, des résultats ?

Je pense que l’utilisation du web 2.0 pour la promotion des arts de la scène et de la culture est nettement mieux implanté aujourd’hui. La question que je me pose maintenant est: est-ce que cela donne des résultats concrets ? Je serais très intéressé de connaitre vos expériences, qu’elles soient positives ou négatives.

Envoyez-les moi à marketingduspectacle@gmail.com et dites-moi si vous acceptez que je les publies ou mettez-les en commentaires.

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Tendances web 2010

En 8 minutes 48, Loïc Lemeur nous explique quelles sont les grandes tendances actuelles du web à partir du cœur de la Mecque des webeux, Silicon Valley.

Toutes ces plateformes sont bien évidemment sensationnelles, par contre, il ne faut pas oublier, 2 choses:

a) un contenu intéressant

b) un mise à jour régulière

Merci à Michelle Blanc d’en avoir parlé avant moi.

Dans 12 jours commencera à Montréal le Webcom 2009. Pas mal de conférences intéressantes et surtout de nombreuses sont gratuites. Ça vaut le coup quand on a pas le budget !

Le futur (ou non-futur) du web

Après deux mois de paresse totale de rédaction (et de vacances super dois-je ajouter), je vous introduit cette petite perle pointée par Michelle Leblanc, mais créé par Mikiane. J’admet que ce billet ne passera pas à la postérité mais il aura au moins le mérite de me relancer dans mes recherches.

Is the web dead ? | mikiane.com

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Enfin, nous pouvons conspirer ensembles pour un meilleur Montréal

Je couve depuis quelques jours un article sur La Vitrine pour faire suite à la conférence de Nadine Gelly à laquelle j’ai assisté vendredi dernier. Il y a beaucoup de chiffres intéressants mais je vous demande encore quelques jours pour rassembler mes idées.

Par contre, pour ceux qui ne vivent pas à Montréal, il y a actuellement une crise d’identité dans cette ville qui fut jusqu’à récemment  l’exemple de ville qui bouge et que Toronto reluquait avec envie. Je crois qu’il est difficile d’être toujours « high » et que nous sommes dans une roue qui est soit déjà vers en bas ou vers le bas. On sent un marasme généralisé, aucun nouveau projet porteur à l’horizon, un maire qui gère sans plus qui patauge dans les petits scandales de ses collaborateurs. Les Canadiens ne se sont même pas classés en quart de finale de la coupe Stanley. Et à Québec, avec son maire branché sur le 220 volts, nous met le nez dans notre caca depuis 2 ans avec ses McCartney, Cirque du Soleil et Le Moulin à Images. Est-ce le montréalais type qui ne souhaite que rentrer dans son condo de luxe et de prestige une fois la journée finie ou bedon le banlieusard qui fait une overdose de festivals et de branchitude ?

Mais peut-être sommes au bout du tunnel car un groupe de Montréalais comme je les aime (oui, y’en a encore) vient de lancer une initiative originale, La conspiration du bien ! De quoi, une conspiration ????? Et bien oui, une conspiration qui a comme but d’insuffler à la ville et au monde entier des bouffées d’énergies positives. Inspirer et conspirer. Twittez, bloguez, laissez un message sur la boite vocale mais, de grâce, conspirez pour le bien pour cette ville qui en a bien besoin.

Les secrets d’une campagne WEB 2.0 enfin révélés

Je ne ferait pas de plagiat de mon ami Laurent Maisonnave qui nous révèle enfin les secrets du WEB 2.0 ici

Samedi 28 février: comme j’ai confiance en ce que dit Laurent, je n’ai pas lu en détail sa liste au moment d’en parler. Il s’agit plutôt d’une anti-liste de ce qu’il ne faut pas faire ou ce que vous proposerait une agence de pub moyennant des émulants considérables pour des résultats nuls. A l’avenir je lirais ce que je met en ligne, désolé.

Le développement de public à l’ere du Web 2.0

J’ai eu le plaisir d’animer hier matin une formation pour La danse sur les routes sur les outils Web 2.0 en tant que vecteur de développement de public pour une salle (utilisable dans d’autres contextes évidemment). Je remercie tout d’abord les particopantes pour leur attention et j’espère que la formation les a aidé  a comprendre l’utilité du Web 2.0.

Pour ma part, moi-même sort toujours de ces ateliers avec un bagage intéressant. Entre les questions dont je n’ai pas toujours la réponse ainsi que les expériences que des membres du groupe ont eu, il y a toujours quelque chose à apprendre pour moi. Une des questions des plus pertinente qui a été posée, celle-ci mérite son attention:

Oui le Web 2.0 regorge d’outils gratuits mais si on décide d’investir tous ces outils, cela demande un temps fou à créer et à gérer. Lesquels prioriser

La réponse (qui ne vient pas que de moi): Si on dispose  de peu de temps,  ilvaut mieux avoir un groupe Facebook et l’utiliser pour créer  des « événements » et les envoyer au membres et créer un gérer un blog.

Pour qu’un groupe Facebook marche, il faut en faire une certaine promotion afin d’attirer un maximum de membres. Si vous voulez que vos membres suivent avec intérêt ce qu’il s’y passe, il faut l’alimenter en contenu et en événements.

Hormis tout les aspects positifs liés au référencement, le blog, lui, permet  d’ajouter une touche une humaine et un réel dialogue avec les lecteurs. Un directeur de salle  et son équipe pourront y défendre la programmation et inviter partager leurs coup de coeurs, inviter les créateurs à se présenter ainsi que leurs œuvres et engager la discussion avec le public. Cet article vous donnera tout les bénéfices d’un blog.

Voici donc ma présentation:

Recherche bonnes pratiques du marketing du spectacle

Je recherche des exemples concrets de bonnes pratiques (best practices) sur le marketing du spectacle. Que vous soyez diffuseurs, programmateurs, agent de communication de lieux d’accueil, administrateur ou agent de compagnies artistiques, vos succès m’intéressent ainsi que vos échecs sur des tactiques et stratégies que vous êtes prêts à partager. Blogs, newsletters, web 2.0, tournées, promotions spéciales, tout m’intéresse.

Je pourrais les analyser et les commenter si vous le permettez.

Envoyez-moi les à:  marketingduspectacle@gmail.com

Au plaisir de vous lire !

Ma conférence à Réseau-Centre

J’ai eu le plaisir, hier après-midi, de donner une conférence sur le marketing des salles de spectacle. Réseau-Centre est un réseau de 24 salles de spectacles multidisciplinaires de 100 à 900 places. D’abord, je tiens à remercier Carole Kipling pour cette invitation ainsi que  tous les participants pour leur écoute. J’espère que tout le monde a pu rentrer chez eux sans encombres. La route de retour était horrible, pour ma part. Une heure de tempête de neige sur une route pas encore déneigée suivi de 1h d’autoroute sur 2 cm de glace vive. Une chance que j’avais fait déjà mis mes pneux d’hiver.

Mon ami Alain, metteur en scène, a eu la gentillesse de m’accompagner et ça a été une très bonne idée car ses notes et réflexions ont été très utiles pour améliorer ma prochaine présentation. J’étais plutôt satisfait de cette conférence même si je la savais pas parfaite. Alain, qui vient de St-Hyacinthe a mis le doigt sur une  de mes grosse erreur. Comme une bonne partie de la conférence était sur l’utilité du web 2.0 dans leur marketing, je n’ai pas relevé l’importance des réseaux sociaux déjà bien implantés dans ces villes, soit les Cercles des fermières et associations de se type dont sa mère fait partie. L’urbain que je suis ne connait pas ces réseaux qui, pourtant, sont très bien implantés en région. De plus, la population est vieillissante, ils ont donc du temps et plus d’argent pour ce type de loisir, comment les attirer vers les salles. Là est surement un des enjeux majeur à la pérénité de ces lieux.

Réseau-Centre comme tout les autres lieu de diffusion culturelle avec qui je travaille dans le monde ont un objectif identique, celui de transmettre et diffuser les arts de la scène. Ils sont la courroie entre l’artiste et le public.

Pour les participants de la conférence, je vous avais aussi promis un guide (en anglais) de comment organiser son « Test drive » que vous trouverez ici.

Monitoring de votre site

Bon revenons à des sujets plus sérieux. Le monitorage de votre site web en est un à ne pas négliger. C’est bien d’avoir un beau site mais si on ne connait pas l’évolution de sa fréquentation, le temps passé et sur quelles pages les gens s’attardent ainsi que d’ou viennent les visiteurs et quels chemins ou mot-clés ils ont employés, on ne sera jamais capable de le faire évoluer ni de récolter une quantité d’information très utile sur nos lecteurs et les marchés potentiels.

Le site Go-Référencement nous explique quelques manières de procéder:

Il existe globalement trois solutions permettant de mesurer le trafic d’un site Internet :

Depuis que j’ai installé XiTi sur mon blog, j’apprends des quantités d’information très utiles. D’abord, j’ai découvert avec étonnement que j’avais aussi des lecteurs en Afrique, en Afrique du Nord, en Californie et dans l’État de New York. Ensuite, je constate que la page la plus fréquentée, outre ‘Qui suis-je ?’ est celle des conférences-marchés internationales.

Oui la plateforme WordPress me donne aussi pas mal d’informations sur la fréquentation mais pas sur la durée des visite ni la géolocalisation. Google Analytics offre offre aussi ces mesures mais je les soupçonne de s’en servir pour cibler leur placement publicitaire de Adwords. Je ne suis pas là pour nourrir en info un géant de la pub internet qui baigne déjà dans les milliards. Notez que ces services sont gratuits pour les sites à petite fréquentation.

Le message à retenir est: ce qui s’observe s’améliore.