Je me suis abonné il y a 3 mois au « Club Cirque » du Cirque du Soleil car une marketeuse des arts américaine le citait en exemple à suivre pour la communication avec sa communauté. CDS étant malgré tout un exemple de marketing réussi, je m’attendais à être impressionné par la qualité et la variété des communications, l’effet excitant que leur « newsletter » allait provoqué et j’étais sûr qu’il y aurait un côté interactif. Bref, j’avais très hâte de recevoir mes premières communications. Et bien rien de tout cela est arrivé. J’ai reçu en 3 mois 3 « newsletters », 2 pour me vendre des portes-clés, des tasses et des casquettes et une pour m’annoncer qu’un de leur spectacle serait partout sauf près de chez moi mais qu’il faut surtout pas oublier d’inviter ma maman pour la fête des mère. Une communication digne de Wal-Mart. Rien pour créer l’engouement, la curiosité, des petites bribes de ce qui s’en vient. Rien pour me faire sentir spécial. Pour eux, j’en conclus que nous ne sommes pas des embassadeurs dignes de ce nom mais des portefeuilles ambulants qui n’ont qu’a sortir sa Visa et vas’y consomme qu’on encaisse. Je m’attendais à plus d’intelligence de leur part.
Un « newsletter » n’est pas fait pour vendre mais pour informer, pour créer l’engouement, pour générer de la curiosité, pour me faire sentir special, pour me faire sentir que je fais partie d’une tribu et que j’aurais envie de propager le mot